Le maire de Terrebonne donne son appui à la pétition de Nathalie Sinclair-Desgagné pour rapatrier le champ de tir

Photo Nathalie Sinclair Desgagné et Mathieu Traversy

Le maire de la Ville de Terrebonne, Mathieu Traversy, confirme son appui à Nathalie Sinclair-Desgagné, députée fédérale de Terrebonne, dans sa démarche pour que le gouvernement fédéral décontamine et cède le champ de tir Saint-Maurice au Gouvernement du Québec ou à la Ville de Terrebonne.

Depuis la semaine dernière, madame Sinclair-Desgagné marraine une pétition à cet effet sur le site de la Chambre des communes. Des centaines de citoyens ont déjà signé la pétition. Celle-ci sera ouverte jusqu’au 9 avril sur le site de la Chambre des communes.

Préserver et valoriser nos espaces verts est une priorité pour la Ville de Terrebonne et le site du champ de tir présente un potentiel très intéressant pour nos citoyens. Je suis très heureux de voir la députée fédérale, madame Sinclair-Desgagné, consacrer de l’énergie dans ce dossier et j’invite les citoyens de Terrebonne à signer la pétition en grand nombre.

Mathieu Traversy, maire de Terrebonne

La députée fédérale de Terrebonne accueille avec enthousiasme l’appui du maire de Terrebonne. 

Je remercie monsieur Traversy pour son appui dans ce dossier. Nos différentes rencontres ont permis de consolider une vision commune à propos du champ de tir et de son avenir. Nous croyons tous les deux que ce terrain devrait être remis à la population. Pour ce faire, nous devons signer la pétition en grand nombre.

Nathalie Sinclair-Desgagné

Madame Sinclair-Desgagné et monsieur Traversy souhaitent que le terrain devienne un territoire sécuritaire et protégé pour en préserver la biodiversité : « C’est une chance d’avoir un territoire aussi vaste et aussi riche tout près de chez soi. Nous allons joindre nos efforts pour le valoriser ; dans l’intérêt des résidents et de l’environnement », soutiennent les deux élus de Terrebonne.

En effet, l’ancien champ de tir est un site d’intérêt pour la biodiversité, alors que plus de la moitié de sa superficie est composée de milieux humides. Rappelons qu’en décembre dernier, la Communauté métropolitaine de Montréal, dont fait partie la Ville de Terrebonne, s’est engagée à atteindre l’objectif de 30 % de milieux naturels protégés dans le Grand Montréal, en 2030.

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